Liverpool, ce titan aux couleurs rouges, a encore frappé sur le marché des transferts cet été, récoltant des pépites d’or cachées ici et là. Alors que le 14 juin marquait l’ouverture de la fenêtre de transfert, les Reds n’ont pas encore sorti leur carnet de chèques pour de nouvelles recrues. On pourrait croire que le club joue les cigales, mais que nenni ! Liverpool accumule les pièces du puzzle financier avec une finesse digne d’un maestro.
Regardons du côté des départs : Adrian file vers le soleil espagnol au Real Betis, tandis que les jeunes talents Melkamu Frauendorf, Luke Hewitson et Francis Gyimah ont trouvé refuge respectivement à Hanovre, Fleetwood et Stoke. Calvin Ramsay, quant à lui, part en aventure le temps d’un prêt à Wigan.
Mais la surprise du chef vient du bon vieux Kamil Grabara. L’ancien gardien des Reds, naviguant depuis quelque temps dans les eaux danoises du FC Copenhague, a mis le cap sur Wolfsburg pour la modique somme de 11,4 millions de livres sterling. Une douce mélodie pour les caisses de Liverpool puisque, grâce à une astucieuse clause de vente, le club engrange un joli bonus de 20 %. En d’autres termes, un clin d’œil d’environ 2,3 millions de livres sterling juste après les 2,5 millions touchés lors du transfert de Luis Alberto.
Et ce n’est pas fini. Les enchères continuent ! Nat Phillips, courtisé par Trabzonspor, a vu son prix refusé à 4 millions, Liverpool espérant plutôt un chiffre autour de 8 millions. Sepp van den Berg, lui, suscite l’appétit de Mainz et de Wolfsburg, mais le ticket d’entrée est fixé à 20 millions de livres. Du côté des gardiens, Caoimhin Kelleher n’échappe pas à la règle avec une cote de 35 millions de livres.
Les désirs barcelonais de Luis Diaz nécessiteront une offre mirobolante de plus de 50 millions. Et que dire de Kostas Tsimikas et Tyler Morton, dont ce dernier est surveillé de près par le RB Leipzig, le prix sur son étiquette atteignant 20 millions de livres.
La chasse aux clauses de vente permet donc à Liverpool de naviguer sur les eaux financières avec une agilité remarquable. Jadis menés par le légendaire Steven Gerrard, les Reds surmontent encore et toujours les obstacles avec la ténacité de leur emblème, le Liver bird. Vous voyez, chers supporters, Liverpool ne marche jamais seul et même dans les transferts, la générosité de ses anciens joueurs ponctue son chemin vers la gloire.